L’effondrement du régime en Syrie ouvre la porte à une « révolution des intérêts » dont les modalités, les gagnants et les perdants sont encore inconnus, mais dont les enjeux sont considérables.
La loi Egalim devait proscrire l’exportation de pesticides interdits d’usage en Europe en raison de leur toxicité, mais la France se l’autorise à la faveur de failles réglementaires. Des associations se mobilisent.
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté(e) pour rédiger un commentaire.